lunes, 23 de noviembre de 2009
FACTOTUM NOCTURNO en francés
Factotum nocturne
La nuit est une vieux arôme
qui fait galoper les doigts,
la supplication des mains
des mains qui frôlent
qui se dissipent dans le vent,
labyrinthe tiède de regards.
Ta chair est une porte, ouverte, majestueuse
comme le chuchotement des temples,
une réclame lumineuse au bord de la steppe
à mi-matinée.
M’enivre la lumière, la nuit qu’hébergent tes yeux
l’arôme de cannelle et de jasmin n’est pas suffit
pour exorciser ton ombre,
ta chair s’en va en incendiant
les chemins du désir.
Et je m’abandonne au don de ton parfum de terre vierge
au mysterieux va-et-vient
qui m’emporte jusqu’à la berge de la rivière où se délasse l’éros.
Traduccción : Claude Sainnécharles, Schleiden
La nuit est une vieux arôme
qui fait galoper les doigts,
la supplication des mains
des mains qui frôlent
qui se dissipent dans le vent,
labyrinthe tiède de regards.
Ta chair est une porte, ouverte, majestueuse
comme le chuchotement des temples,
une réclame lumineuse au bord de la steppe
à mi-matinée.
M’enivre la lumière, la nuit qu’hébergent tes yeux
l’arôme de cannelle et de jasmin n’est pas suffit
pour exorciser ton ombre,
ta chair s’en va en incendiant
les chemins du désir.
Et je m’abandonne au don de ton parfum de terre vierge
au mysterieux va-et-vient
qui m’emporte jusqu’à la berge de la rivière où se délasse l’éros.
Traduccción : Claude Sainnécharles, Schleiden
viernes, 20 de noviembre de 2009
FACTOTUM NOCTURNO
FACTOTUM NOCTURNO
La noche es un viejo aroma
que hace galopar el tacto,
el conjuro de las manos
manos que se rozan
que se desvanecen en el viento,
tibio laberinto de las miradas.
Tu cuerpo es una puerta, abierta, solemne
como el susurro de los templos,
un reclamo luminoso al borde de la estepa
a media mañana.
Me embriaga la luz, la noche que albergan tus ojos
el aroma a canela y a jazmín no basta
para exorcizar tu sombra,
tu cuerpo que va incendiando
los caminos del deseo.
Y yo me abandono al don de tu perfume de tierra virgen
al misterioso vaivén que me lleva
hasta la orilla del río donde descansa Eros.
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